La vie peut parfois être ironique. Les mêmes causes, les mêmes effets. Sauf que dans certains cas, le traitement médiatique ainsi que les positions des politiques peuvent donner une analyse différente pour les mêmes situations.
« Quand la maison du voisin brûle, au lieu de souffler sur les braises, mieux vaut aider a éteindre le feu. » Tels sont les mots du Chef de l’État d’alors, SEM Laurent Gbagbo à qui on pourrait donner raison aujourd’hui.
Triste sort, quand il s’acharne sur vous. En effet, un recompte des voix refusé à l’un par “la communauté internationale” et le président de la commission de l’UA de 2008 – 2012, j’ai nommé Monsieur Jean Ping, “perdant” malheureux de l’élection présidentielle. Et quand je pense qu’un recompte des voix aurait certainement préservé des vies et apaisé le climat délétère qu’on a connu.
Le karma pour certains, le retour du bâton pour d’autres mais une chose est sûre, la morale de cette histoire est d’apprendre aux africains a être plus soudés et à poser des analyses plus objectives des problématiques africaines. ABO aurait-il refusé des contrats à l’État français, pour être aujourd’hui lynché publiquement par ces amis d’autrefois? Traité de dictateur aujourd’hui alors qu’il était un habitué du palais de l’Élysée!!
En somme, la vie des africains se résument aux intérêts politiques et économiques, à des questions de gros sous, a des contrats juteux… et quand on connait les personnages, ABO et Jean Ping, difficile de prendre partie. Le temps nous dira quelle était le meilleure choix ou la meilleure stratégie à appliquer!!!
K.A.S
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